11 juillet 2009
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Article à lire après l'étape du Ventoux.
On est dans le pays qui a vu naître René Descartes, mais comme dans les règles de grammaire il y a des exceptions dans les règles d'appellation de nos fleuves et rivières.
La Géographie Française pour les Nuls ( auteur : Jean-Joseph Julaud ) nous remet en mémoire ce qu'on aurait dû apprendre en école primaire : lorsqu'il y a confluence de deux cours d'eau, comme la Saône et le Rhône à LYON, la section qui réunit les deux cours d'eau prend le nom de celui dont le débit moyen est le plus important. A LYON, même le moins instruit et le plus superficiel des observateurs ne s'y trompe pas.
La Géographie Française pour les Nuls ( auteur : Jean-Joseph Julaud ) nous remet en mémoire ce qu'on aurait dû apprendre en école primaire : lorsqu'il y a confluence de deux cours d'eau, comme la Saône et le Rhône à LYON, la section qui réunit les deux cours d'eau prend le nom de celui dont le débit moyen est le plus important. A LYON, même le moins instruit et le plus superficiel des observateurs ne s'y trompe pas.
Or, à MONTEREAU-FAULT-YONNE en Seine et Marne ( 77 ) endroit où la Seine et l'Yonne mêlent leurs eaux c'est l'Yonne qui possède le débit moyen le plus conséquent.
Morale de ce billet :
C'est l'Yonne qui coule sous les ponts de PARIS.
Alors faut-il débaptiser la Seine ou l'Yonne ?
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