Le blog de Roger DURET

De BLOGS en BLOOKS les voilà les les jolis LIVRES

250 MILLIONS de blogueurs dans le monde voilà ce qui justifie la première levée de fonds de BLOOK-UP une jeune pousse fondée par Philippe Bruno.

Selon des études de marché en France 65% des blogueurs aimeraient bien avoir leur blog matérialisé par un livre. (aux Etats-Unis 85%).

Quelques années auparavant on n’avait pas le recul nécessaire pour comprendre que cette information allait se perdre ; pour une personne qui a fait par exemple de son blog de voyage la seule façon d’en conserver une trace toute sa vie c’est d’en faire un livre..

Comme après les crues les fleuves regagnent leur lit l’écrit regagne son terrain.

Si techniquement la duchesse de DINO ( qui a tenu un rôle important en tant que maîtresse de maison de la délégation française au Congrès de Vienne de 1815 et à l’ambassade d’Angleterre plus tard sous Louis-Philippe) en aurait eu la possibilité aurait-elle tenu un blog à la destination de ses correspondants et aurait-on le savoureux recueil de sa correspondance qui fait revivre tout une époque, un art de vivre disparu, des personnages oubliés..?

Selon les propos recueillis par Yannick Urrien Philippe Bruno assure que les paramètres techniques sont maîtrisés (multiples formats des blogs, différentes polices de caractères ou même les émoticônes ; depuis 2013, au fil des temps 1 000 correctifs sur la plate-forme ont été nécessaires pour intégrer la plupart des difficultés tant chaque blog est techniquement différent.

Philippe Bruno se présente comme un amoureux de la littérature et du livre, ce qui lui a fait prendre conscience que certains blogs par leur qualité, leur travail d’écriture ou de photographie méritaient d’être conservés sous forme de livre, le web restant un support après tout peu pratique pour une lecture attentive et un partage d’écrits à tout moment pendant une longue durée d’existence.

Matérialiser une sélection de ses articles de son blog, de Facebook (en laissant de côté les articles insignifiants et désuets) sous forme de livre est la façon à notre avis la plus appropriée de les conserver et de les avoir toujours sous la main.

Et bientôt Blook-Up proposera même d’éditer des livres à partir des tweets.

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Source : L’Hebdo-BOURSE PLUS n° 883 page 8

Festival de mauvais spectacles en Espagne:

le festival

CUTRECON.

Et si le mauvais cinéma devenait un objet de culte ?

Au festival CUTRECON qui s’est tenu à MADRID la première semaine de février 2017 les navets (ennuyeux) et les nanars (involontairement amusants) ont été sur les écrans.

Pendant 5 jours les films les plus navrants - piètres acteurs, scénarios déplorables et réalisateurs médiocres - se sont succédé sur les écrans.

3 500 spectateurs cette année.

source: Le Progrès 1° février 2017.

       Briac Lescure cofondateur de PopChef dans un entretien avec le site Widoobiz à propos de la gestion réaliste des ressources humaines : on n’a pas non plus de culture de l’horaire comme il existe dans la plupart des entreprises françaises. Chacun travaille quand il veut. On préfère voir un salarié quatre heures par jour à fond dans son travail et qui a du temps  pour d’autres loisirs l’après-midi plutôt qu’un salarié qui traîne à la tâche et s’implique moins. Je trouve ça aberrant quand j’entend que certaine personnes restent au bureau jusqu’à 19 h parce que c’est stipulé dans leur contrat alors qu’elles n’ont plus grand-chose à faire depuis

17 h…

Et que dire de ces bureaucraties type centre administratif des établissements bancaires où des cadres : les petits chefs out les sinistres adjudants en plus de leur présentéisme obligatoire donnent la preuve de leur incompétence dans l’organisation de leur travail en traînant  plus longtemps que stipulé dans leur contrat, ce ne sont même pas des heures supplémentaires. Peut-être certains craignent-ils de rejoindre trop tôt leur famille et de se sentir ringardisés, voire ridiculisés par l’aisance de leurs enfants dans l’utilisation des technique nouvelles.

source : Les Echos  2 mars 2017.

iZettle : le lecteur de carte de paiement suédois.

La fintech qui nous vient du froid iZettle et qui propose pour les petits commerces un lecteur de cartes de paiement et une suite de services financiers vient de boucler son tour de table de 60 millions d’euros principalement auprès de Victory Park Capital.

à suivre ….

source : Les Echos 12 janvier 2017

Une nouvelle banque en ligne a vu le jour et vient s’ajouter aux banques déjà disponibles sur internet. Elle est éditée par Sogexia, FinTech Lyonnaise née en 2010, opératrice de services de paiement et de monnaie électronique qui propose la création d’un compte de paiement avec RIB, possibilité de transaction, virement ou encore retrait. Elle s’adresse aux particuliers (compte SmartPay) comme aux professionnels (compte Business).

Sogexia se contente de proposer des services basiques car il n’est pas possible d’obtenir de chéquier, de crédit, et que le découvert n’est pas autorisé. Les dépôts clients sont séquestrés auprès de partenaires tels que BNP Paribas et Raphaels Bank.

La plupart des banques en ligne des grandes banques telles qu’Hello bank , Fortuneo ou encore BforBank proposent des services gratuits, ce qui n’est pas le cas pour Sogexia. Chaque carte bancaire (il est possible d’obtenir jusqu’à 4 cartes par compte) sera facturée 9,90€ et valable 3 ans. Si les frais de tenue de compte et d’ouverture de compte sont gratuits, tout retrait à un distributeur automatique coûtera 1€, toute transaction refusée 0,25€ et les réceptions de virements seront facturées 2% du montant. Les rechargements par carte bancaire coûteront également 2,5% du montant. L’assurance, elle, est facultative et pourra être souscrite moyennant 1,50€ par mois. Il faut aussi compter avec 3€ de frais d’inactivité par mois si le compte est inactif depuis 9 mois consécutifs.

SOGEXIA pense séduire 100 000 clients la première année ( Le Progrès du 13 décembre 2016)

Les banques en ligne telles que Fortuneo sont cependant soumises à des conditions de revenus, souvent autour de 1 000€, ce qui n’est pas le cas chez Sogexia : aucun dépôt minimum n’est exigé.

Avant de choisir sa banque en ligne, il est ainsi conseillé de comparer les différentes offres et les tarifs pratiqués avant toute chose, car les services et les prix diffèrent souvent.

« Sogexia est née de notre frustration des services bancaires traditionnels. Nous pensons qu’ils peuvent être à la fois simples, économiques et apporter une vraie valeur ajoutée. Nous avons donc entrepris au cours des quatre dernières années de réinventer la banque en créant de toutes pièces notre propre plateforme monétique afin qu’elle puisse répondre aux nouvelles attentes du marché », peut-on lire sur le site internet de la banque en ligne.